10 Avril 2009 -- CAIRNS

CAIRNS 10 Avril 2009

Comme prévu à 7h00 le gars « JIM » est venu me chercher, pas de blème, sympathique. Les deux touristes supplémentaires arrivent à 7h25, ce qui fait que l'on part comme prévu à la demi.
Je vous le donne dans le mil, il pleut, et bien même. C'est tellement « bouché » que je n'ai pas l'impression que cela va s'arrêter.
Mauvais pronostique, elle cesse vers 9h00, ouf. On a presque pu se faire bronzer même entre deux nuages. Hihihihi.
Par contre mon scepticisme quand au poissons..... Hihihihi..... Rien, 1 touche, je me suis fais bouffé  mon amorce et voilà pour la matinée.
Jim est très « désolé » hihihihi, 4 bateaux similaires au notre sont partis en même temps ce matin et d'après les coups de fil qu'ils se balançaient, c'est bredouille pour tout le monde. C'est pas vraiment « la bonne période », on dirait. Il a fait en sorte de choper un poisson chat, histoire de faire une photo, et sans y toucher (uniquement avec des pinces), il est remis à l'eau aussitôt.
Bon, je ne m'attendais pas à grand chose de mieux, je me fous complètement d'en avoir pris ou pas, le but était de « faire » quelque chose.
L'après midi, après un « fish and chips » et une petite sieste, je suis retourné sur l'esplanade, et ... beau temps (pratiquement un ciel bleu), c'était bien plus agréable, farniente sur la pelouse, face à la mer, la bouteille d'eau à la main, et c'est tout.
Demain, départ vers le grand désert, Il faut être dingue, 5000 km en avion + 1000 km en bus pour voir un canyon et un cailloux. lol. Ici, il ne faut pas compter les km, mais les heures car les distances sont telles que les déplacements se font très facilement en avion. Les routes sont généralement mauvaises sauf les quelques « Highway» et quelques « Great Road ». j'espère voir un de ces « Road train », ces fameux camions à plusieurs remorques et qui peuvent dépasser allègrement les 70 m. Ils sont prioritaires partout, et ils déboulent à plus de 120, donc, si tu en vois un, planques toi !. Je vérifierai ça et vous tiendrai au courant.
Rien de plus à raconter aujourd'hui, la nuit va tomber et la pluie avec je pense.
« A demain, si vous le voulez bien » (L.J.)